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Histoire de la ville de Bordeaux

Waypoint de Resus Posté le 30-12-2021 Catégorie: "Ville et Village" Visite: "Immanquable"   33-Bordeaux
Histoire de la ville de Bordeaux

IIIe siècle av. J-C
Les bituriges Vivisques, peuple celte, s’établissent au confluent de plusieurs cours d´eau se jetant dans la Garonne.

Début du 1er millénaire
De l´opulente Burdigala romaine qui tira de substantiels bénéfices du commerce du vin, l´amphithéâtre du Palais Gallien demeure l´unique vestige encore sur pied. La toponymie vient à la rescousse des temps enfouis: la rue des Piliers-de-Tutelle évoque le grandiose forum situé en bordure du fleuve dont les dernières ruines furent démolies après la Fronde (quelques morceaux des volumineuses colonnes sont conservés dans les réserves du Musée d´Aquitaine). Le quartier de Terre-Nègre garde le souvenir du crématorium réservé aux plus humbles et dont les cendres noircissaient le sol du cimetière.

IIIe siècle
La «Petite Rome», alors forte de 20000 habitants, s´organise selon un quadrillage imposé par de grands tracés, les cardo (axe nord-sud, approximativement rue Sainte-Catherine) et decumanus (est-ouest, rue Porte-Dijeaux), tandis que le port Navigère s´insère dans la ville au niveau des actuelles rues du Parlement et Cancéra. Ce n´est qu´à la fin du IIIe siècle que la cité,jusque-là ouverte, se retranche derrière une première enceinte, épaisse muraille de 9 m de haut, hérissée de «tours si hautes que leur faîte perce les nuages du ciel», d´après le poète Ausone.

Moyen Âge
Avec la chute de l´empire romain, l´ancien emporion (pôle de commerce), pillé par les Vandales dès le Ve siècle, sombre dans l´oubli, jusqu´au retour de la paix, vers le Xe siècle. La ville se reconstruit à partir des édifices religieux, tels le sanctuaire de Saint-Seurin et le monastère de Sainte-Croix dont les nouvelles transformations expriment le renouveau roman. Un deuxième rempart, le burgus, est élevé au début du XIIIe siècle - incluant le bourg Saint-Éloi avec les rues de la Rousselle et Bouquière -suivi d´un troisième au siècle suivant, incluant les quartiers de Sainte-Croix, Saint-Michel et Sainte-Eulalie. La ville, étendue sur 170 ha, abrite alors 30000 habitants.

1154
C´est sous la domination anglaise, consécutive au mariage (1154) entre Aliénor d´Aquitaine et Henri II Plantagenêt, que Bordeaux connaît une nouvelle période de croissance économique particulièrement favorable à l´enrichissement de son patrimoine (basiliques Saint-Michel, Saint-André).

1453
La bataille de Castillon, en 1453, voit les armées françaises triompher et récupérer la région et ses ressources au profit d´un pouvoir central qui affiche immédiatement sa défiance à l´égard de la population bordelaise en érigeant deux grandes forteresses, le Château Trompette, au nord, et le fort du Hâ, à l´ouest. L´introduction, au sein de la ville, de nouveaux bastions militaires est vécue comme une astreinte insupportable aux yeux des habitants désormais coutumiers de la liberté d´échange et de circulation. Le sévère édifice vient également contredire la profonde transformation urbaine en cours (notamment au niveau des Chartrons où l´essor du négoce hâte la construction d´entrepôts et de chais).

XVIIe siècle
La ville vit un véritable âge d´or, grâce au marché du vin, mais également du fait de l´obtention, décidée par Colbert, du monopole du négoce avec les Antilles, faisant du port une plaque tournante du commerce international, avec les réserves de tissus, d´armes, de farine, de café, de cacao ou de sucre. Bordeaux est, vers cette période, le deuxième port d´Europe et le premier de France, position qui s´appuie substantiellement sur l´essor du commerce triangulaire: des populations de l´Afrique noire sont achetées et déportées vers les îles des Caraïbes où les survivants sont rendus en esclavage afin d´y cultiver les plantations de canne à sucre. Le plafond du Grand-Théâtre, peint à l´origine par Robin, accueille une des rares illustrations que l´on peut croiser dans la ville de ce trafic négrier (avec quelques mascarons disséminés sur des façades des quais, et une section au Musée d´Aquitaine).

1711
La toute puissance de Bordeaux, qui coordonne les échanges entre son arrière-pays, les îles et l´Europe du Nord, est mise au service de son propre embellissement. Un premier alignement de façades est proposé dès 1711 le long des fossés qu mènent à l’hôtel de Ville de époque (actuel cours Victor-Hugo) une suite de maisons neuves de gabarit identique forment ainsi la première façade bordelaise.

1720
C’est entre 1720 et 1757 que les intendants Boucher, puis Tourny modifient notablement la morphologie de Bordeaux. La ville se défait des anciens remparts qui obstruaient son accés au fleuve, expose au grand son activité trépidante et ses richesses, se modernise.

1733
L’écrin de la place de la Bourse (autrefois dite «royale»), prolongée par la façade des quais, constitue une somptueuse vitrine destinée à accueillir les étrangers arrivant par bateau. Sa somptuosité parfaitement équilibrée, dénuée d’obstentation, semble exprimer l’assurance d´une fortune qui dialogue en harmonie avec l´éternité.

1744
Au delà, dans la partie nord du centre historique, Tourny s´emploie également à moderniser les abords du château Trompette pour l’agrément des citadins. Il dessine des promenades publiques, des allées et un cours (aujourd´hui Georges-Clemenceau) qui portent son nom et un Jardin public. Dans un souci de salubrité publique, la ville s´aère aussi de l´intérieur, avec la création de places - Dauphine (Gambetta), Saint-Julien (Victoire), Bir-Hakeim (Bourgogne), Saint-Germain (Tourny) -, l´érection de plusieurs portes monumentales et l´accomplissement de nouveaux quartiers autour des actuels cours de la Marne, Aristide-Briand, d´Albret et Georges-Clemenceau.

1773
En 1773, l´architecte Victor Louis donne son chef-d´oeuvre, le Grand-Théâtre, couplé à un îlot d´hôtels particuliers, jetant ainsi les assises du futur quartier des Quinconces - tandis que Joseph Etienne et Richard François Bonfin élèvent de leur côté le palais Rohan en regard de la cathédrale Saint-André, siège de l´archevêché destiné à devenir plus tard, sous la République, l´hôtel de Ville (1837).

XIXe siècle
Au XIXe on ne tergiverse pas avec les besoins d´un Bordeaux qui ne saurait être moderne seulement en façade mais nécessite des infrastructures et des équipements d´envergure. Comme à Paris à la même période, ingénieurs et édiles agissent sans scrupule, éventrent la cité, rasent les vieilles masures pour dégager des artères tirées au cordeau: les cours Alsace-et-Lorraine ou Pasteur au sud, du Médoc ou Balguerie-Stuttenberg au nord, la rue Vital-Carles au centre, dessinent des axes de circulation larges et fonctionnels, complétés, à partir de 1867, par le tracé semi-circulaire des boulevards, enceinte d´un nouveau genre, composée de «barrières» (intersections avec les avenues qui rejoignent les communes limitrophes), organisant aussi bien le contournement que l´accès au centre ville. On pave les rues, éclaire la voirie, installe des fontaines, on crée de nouveaux marchés, on rectifie le port, assainit les palus environnants, corrige les lits du Peugue et de la Devèze.

1821
C’est au niveau du fluve que se produisent les changements les plus significatifs. La ville a jusqu´ici privilégié son débouché avec l´atlantique plutôt que ses relations avec l´autre rive de la Garonne.
Premier franchissement sur la rivière, le Pont de pierre 1821; permet de désenclaver la rive droite où s´organisent rapidement les quartiers ouvriers de La Bastide et La Benauge. De même, la mise en place de quais verticaux, en remplacement des plages de gravier et de sable, poursuit la modernisation du port, en voie d´industrialisation (modernisation des chantiers de construction navale, implantation d´usines chimiques).

1825
En ville, de nouveaux édifices voient le jour, tels l´hôpital Saint-André (1825) et le palais de justice (1846), de part et d´autre de la place de la République, le dépôt de mendicité (aujourd´hui lycée Gustave-Eiffel), ou encore les facultés du cours Pasteur et de la place de la Victoire. Au demeurant, les architectes de l´époque s´inscrivent dans une certaine continuité avec leurs prédécesseurs du XVIIIe, contribuant à consolider l´unité stylistique de la ville: l´achèvement de la place du Parlement et la fontaine de Louis Garros en son centre, le répertoire décoratif de la façade du «château» Descas, le hall de la Bourse, et jusqu´à la bourse maritime de 1925... attestent de cet attachement persistant au classicisme.

1898
L’érection de l´imposante gare Saint-Jean au droit de la passerelle de chemin de fer (élevée presque un demi-siècle plus tôt par Gustave Eiffel) vient clôturer le vaste mouvement d´aménagement initié par Boucher et Tourny, dotant Bordeaux de l’ultime équipement qui lui manquait pour rivaliser avec les autres capitales régionales françaises.

XXe siècle
La poussée démographique implique la construction de logements en nombre, adaptés à chaque type de population aux échoppes, destinées à accueillir un habitat populaire, s´ajoutent des maisons bourgeoises où s´illustrent les styles architecturaux en vogue au début du xxe siècle, tels que l´Art nouveau et l´Art déco. Des quartiers s´esquissent, vers les boulevards et au-delà, dans une unité de ton qui correspond à leur raison sociale: les uns affichent les modeste attributs d´un habitat banal, les autres les parures plus ostentatoires de demeures distinguées. Ils s´inscrivent dans un même mouvement de relative démocratisation de l´accession à la propriété privée.

Entre 2 guerres
L´action du maire Adrien Marquet (1925-1944) – nonobstant une dérive idéologique dramatique durant la guerre - est durant l´entre-deux-guerres, sur les plans social et patrimonial, particulièrement féconde. Elle consiste à hisser l´éducation, la culture ou le sport au rang de valeurs démocratiques, constitutives de l´essor et de la cohésion de la cité, tandis que l´activité économique de celle-ci, essentiellement portée par les rendements du port, du commerce du vin et de l´exploitation de la forêt landaise, connaissent des résultats en dents-de-scie avant même d´être frappée par la crise de 1929. La maîtrise des grands travaux municipaux est confiée à l´architecte puis urbaniste de la Ville Jacques d´Welles. Ensemble, Marquet et D´Welles donnent corps à un programme à la fois ambitieux et original, respectueux du climat confectionné par les intendants du XVIIIe siècleetsoucieuxde modernité.

Années 1930
De nombreux architectes (Cyprien Alfred-Duprat, Raoul Jourde, Pierre Ferret, Roger-Henri Expert...) et artistes sont convoqués pour réaliser ou décorer ces édifices-manifestes que sont la Bourse du Travail (1938), le stade Lescure (1933-1940), la piscine judaïque (1931-1934), les abattoirs de Paludate (1938), laéroport de Mérignac (1935), les gares maritimes, les hangars des quais et nombre d´écoles...
Marquet s´emploie aussi à conforter sinon à réhabiliter le Bordeaux classique, restaurant à l´identique les portiques du jardin public ou les intérieurs de la chambre de commerce, place de la Bourse. La fascination pour le siècle d´or s´exerce jusqu´à créer de toutes pièces des bâtiments dans ce style: la Bourse maritime du quai des Chartrons, pastiche de 1925.

Années 1950
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les maires Fernand Audeguil (1944-1947), puis jacques Chaban-Delmas (1947-1995) initient un grand nombre de chantiers qui donnent naissance à plusieurs ensembles d´habitations individuelles ou collectives dans des quartiers périphériques- les cités du Parc des sports, Carreire (derrière l´hôpital Pellegrin), Claveau et la cité lumineuse (Bacalan), La Benauge et en banlieue (Lormont, Mérignac, Le Haillan). Il encourage l´extension ou la mutation de territoires en friche ou en déshérence: le quartier du Grand-Parc (1955-1975), plus tard celui du Lac (1966)sont conquis sur des marais.

1960
Les commencements de l´ère Chaban sont marqués par la nécessité d´équilibrer et de moderniser l´offre locative et immobilière de la ville en rapport avec la précipitation de l´exode rural et la poussée démographique. Il est sans doute le premier maire à raisonner en termes d´agglomération (il crée la CUB en 1967) et impose sa conception: une «métropole d´équilibre». Un des premiers gestes significatifs de cette vision à échelle communautaire concerne, à partir de 1960, le déplacement de la faculté, à l´étroit dans ses locaux du centre ville, vers les communes de Pessac, Gradignan, puis Talence, constituant à terme un des plus vastes domaines universitaires d´Europe.

1962
Novateur, presque utopique, le programme initial de la «plate-forme» de Mériadeck, tout en causant un traumatisme au sein de la population en raison de sa brutalité d´exécution, s´inscrit autant en rupture qu´en continuité avec la ville historique, puisqu´une liaison jardinée devait relier l´esplanade axiale au musée des beaux-arts du cours d´Albret. Mais le chantier, imaginé dès 1951, s´enlise et l´image de Chaban restera longtemps marquée, dans l´esprit des Bordelais, par les vicissitudes de cette entreprise futuriste, mais protéiforme et démesurée.

1937
Bordeaux se dote en 1967 d´un Secteur sauvegardé, décision répondant à la situation patrimoniale et sanitaire préoccupante du centre historique, de Saint-Michel à Saint-Pierre. Son périmètre s´étend sur 150 ha et restera longtemps le plus grand de France: environ 4000 immeubles sont concernés et 11750 logements sur un territoire qui reprend sensiblement les limites de l´enceinte du XIVe siècle. La vaste opération de « nettoyage» qui s´ensuit vise à mettre en conformité l´habitat privé avec les richesses artistiques qu´il recèle: respect des populations et des patrimoines. Mais les objectifs initiaux sont dépassés et, dans les années 1980 la démarche prend, notamment à St Pierre des allures d´une spéculation immobilière d´envergure réalisée au détriment des habitants. Pour autant, les quartiers, embourbés sous la crasse du temps, gagnent en oxygène: le curetage des cours intérieures permet d´organiser des aérations au sein de ces périmètres étroits -souvent constitués de parcelles en lanière - et de dégager des espaces communs, comme l´îlot de la Tour de Gassies. La piétonisation des rues Porte-Dijeaux et Sainte-Catherine et tout autour de la place du Parlement, en canalisant la circulation des foules, détermine également un nouveau secteur marchand, qui stimule l´économie locale. Peu à peu, le visage du Vieux Bordeaux se recompose et rajeunit pour devenir aujourd´hui un quartier en vogue.

1984
La forte implication de Jacques Chaban-Delmas dans le développement culturel de la ville entraîne la restauration voire la réhabilitation de certains monuments.
En 1984, un ancien entrepôt à denrées est transformés en musée d’art contemporain, le CAPC. L’intervention sobre et élégante menée par le duo d’ architectes Pistre et Valode, associés à la designer Andrée Putman, parvient pour la première fois à Bordeaux à restituer le dessin original d’un édifice au service d’une fonctionnalité complètement nouvelle. L’année suivante, la faculté des Sciences et des Lettres du cours Pasteur devient le Musée d´Aquitaine en 1985. Puis une première campagne de travaux redonne de l´éclat au Grand-Théâtre au début des années 1990.

1990
L´exemple du CAPC est suivi par d´autres réalisations de ce type pour des maîtres d´oeuvre variés: un ancien entrepôt de stockage de sucre accueille le Théâtre du Port de la Lune en 1990, l´ancien couvent des jacobins, entretemps devenu bibliothèque, se change en chambre régionale des comptes en 1993, le couvent de l´Annonciade reçoit la direction régionale des affaires culturelles (DRAC) en 1995. Trois reconversions dans lesquelles s´illustre l´agence d´architecture Brochet-Lajus-Pueyo. Parallèlement, quelques églises sont également rénovées au moins partiellement comme St Seurin, ou st Bruno ou totalment comme Notre Dame.

En accédant en 1995 aux commandes de la ville, Alain Juppé se donne pour mission de rendre Bordeaux plus lisible et surtout mieux praticable. La ville est alors asphyxiée par les problèmes de circulation engendrés par le choix du «tout automobile» jusqu´ici privilégié. L´option consensuelle du nouveau tramway (disparu en 1958), dont le chantier s´amorce dès 1997 apporte un premier et décisif élément de réponse à l´échelle de la communauté urbaine (dont le maire, alors premier ministre, prend la tête).

1998
Rive droite, La Bastide est également touchée par la grâce du changement. Le faubourg industriel et populaire du XIXe siècle, né avec l´installation du Pont de pierre, puis de la gare d´Orléans (1852), prend un nouvel élan grâce à un faisceau d´opérations: émergence d´une zone d´aménagement concerté (Zac) Cceur de Bastide, réhabilitation de l´avenue Thiers et de la place Stalingrad - où trône le Lion bleu de Xavier Veilhan -, aménagement des berges du quai de Queyries

2000
En parallèle s´enchaînent des programmes de réhabilitation du centre historique, de restaurations de monuments et de ravalement des façades. Celle des quais retrouve à partir de 2000 la fonction que lui avaient dévolue les intendants: la vitrine rayonante sur le fleuve. Après plusieurs projets avortés d’aménagement des deux rives dont celui de Dominique Perrault, le dessein de l’urbaniste Michel Corajoud se concrétise doucement, octroyant aux promeneurs l´accès à la Garonne depuis que les activités portuaires l´ont complètement délaissée.

2003
Le tramway, dont la première ligne est inaugurée en 2003, agit comme une colonne vertébrale d´un genre nouveau qui, au fur et à mesure de son intrusion, ranime, désenclave, métamorphose des quartiers entiers. Son dessin tentaculaire, qui ignore les limites administratives, s´oppose à l´esprit des enceintes d´autrefois et aux conceptions autocentrées de la ville dont le tracé urbain témoignait encore. Des campagnes de restauration des monuments historiques sont engagées aux côtés du ministère de la Culture, des places et espaces publics sont réaménagés (place Marie-Brizard, cours Victor-Hugo)...

2009
Bordeaux-Euratlantique, opération d´intérêt national pour l´aménagement global des espaces situés autour de la gare Saint-Jean, est créé en 2009 en lien avec le prolongement de la ligne ferroviaire LGV Paris/Bordeaux. Le projet se développera sur une surface de 738 ha répartis sur Bordeaux (386 ha) et les communes de Bègles (217 ha) et Floirac (135 ha). À l´horizon 2030, le nouveau quartier devrait accueillir un centre d´affaires au rayonnement international, 15000 logements destinés à accueillir 20 à 30000 habitants supplémentaires, 500000 m2 de bureaux, des commerces et des équipements publics.
Le pont Chaban-Delmas, cinquième franchissement bordelais sur la Garonne, est ouvert au niveau, rive droite, des Bassins à flot, périmètre devant faire l´objet d´une importante réhabilitation, et où s´installera la Cité des civilisations du Vin.....

 

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